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La femme fardée, photographie du livre

La femme fardée

Sous un soleil de septembre, une douzaine d’hommes et de femmes des hautes sphères glissent dans une aventure âpre en forme de satire sociale au vitriol. Ils partaient pour dix jours d’insouciance, ils iront jusqu’au bout d’eux-mêmes.

Vue du mémoire rédigé dans le cadre de mes années DSAA à Duperré, Paris, 2004

L’ÉTÉ

Je me souvins de mon travail de recherche mené durant mes années Duperré et qui portait sur la formalisation et l’expression des états émotionnels à travers leur incarnation par huit plantes ou végétaux traversant les quatre saisons d’une année. En effet, j’en étais venue à comparer le corps humain en proie à ses émotions à un jardin évoluant suivant son contexte météorologique.